© Aglaé Bory
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Aurélien Bory

Après des études de physique, Aurélien Bory travaille dans le domaine de l’acoustique architecturale et se consacre ensuite aux arts de la scène.

Depuis l’an 2000, il dirige la Cie 111 implantée à Toulouse et entourée de nombreux collaborateurs. Il développe un théâtre physique – de l’espace et du corps – et crée des pièces protéiformes à la frontière de différentes disciplines – cirque, danse, musique, arts visuels. De La trilogie sur l’espace, et plus particulièrement Plan B, marqué par la collaboration avec le new-yorkais Phil Soltanoff, à Je me souviens Le Ciel est loin la terre aussi (2019) créé avec Mladen Materic, en passant par Espæce (2016) présenté à la 70e édition du Festival d’Avignon ou encore aSH (2018) créé au festival Montpellier Danse pour la danseuse Shantala Shivaligappa, la Cie 111 porte aujourd’hui un répertoire de dix-sept spectacles, présentés dans les grands festivals et sur les plus prestigieuses scènes internationales.

Aurélien Bory a récemment mis en scène et scénographié La disparition du paysage, texte inédit de Jean-Philippe Toussaint incarné par Denis Podalydès, à l’automne 2021 au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris, et en 2022, Dafne, opéra-madrigal inspiré d’une œuvre d’Heinrich Schütz, en collaboration avec Les Cris de Paris – Geoffroy Jourdain, créé à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet à Paris.

L’intérêt singulier qu’Aurélien Bory porte à la scénographie s’incarne aussi dans des installations qu’il conçoit, souvent en rapport avec un lieu, comme Spectacula en 2015 pour le Théâtre Graslin à Nantes, TROBO en 2019 pour la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris, et Garonne en 2020 pour le Théâtre Garonne à Toulouse. Aurélien Bory met également en scène des opéras : Barbe-Bleue et Le Prisonnier en 2015, Orphée et Eurydice en 2018, Parsifal en 2020, Dafne en 2022.